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La salle de conférence du CECOJE a été ce samedi 20 Août 2011 à 10h le théâtre d’un important séminaire. Une série de formation visant à faire connaitre le mouvement de la JCI, d’évaluer les activités déjà réalisées et de procéder éventuellement à une redynamisation de l’antenne locale, de susciter la prise de conscience et l’acceptation des responsabilités du citoyen ; de faire participer les membres aux programmes de formation internes pour développer leur potentiel de direction et faire la promotion du développement économique local.
En effet, créée officiellement à Mexico du 7 au 11 décembre 1944 par Henry GIESSENBIER, la Jeune Chambre Internationale est une fédération mondiale de jeunes leaders et entrepreneurs âgés de 18 à 40 ans. C’est la plus grande organisation mondiale de formation de jeunes, hommes et femmes implantée dans plus de 100 pays et territoires à travers le monde.
Selon Sen Mountaga SYLLA, le formateur, depuis sa création, la vocation et les objectifs de la JCI sont multiples, humanistes, et citoyens car ils visent essentiellement à former aujourd’hui des dirigeants de demain et d’offrir des services à la communauté. Le rêve et la raison d’être de la JCI sont clairement traduits par les paroles du fondateur Henry GIESSENBIER qui estime que l’âme de cette organisation est de toucher la sensibilité et le cœur des individus en vue de les inciter à établir la paix dans le monde d’une manière permanente et définitive. Les buts de cette institution sont si dignes qu’elle contribue également au progrès d’une bonne communication mondiale tout en procurant à des jeunes gens la possibilité de développer les techniques de direction, la responsabilité civique, l’esprit d’entreprise et la solidarité nécessaires pour réaliser des changements positifs.
Maitre Mountaga a en outre rappelé l’aspect humanitaire de la JCI qui est aussi une structure totalement dévouée et consacrée à la personne humaine. L’idée est de rapprocher au maximum les êtres humains ; favoriser un lien de fraternité pour mieux répondre aux besoins des personnes provenant de milieux sociaux, culturels, ethniques, religieux, économiques différents.
Pour finir, il est à souligner que pour la quarantaine de participants à ce séminaire, l’engouement et l’intérêt pour ce débat était énorme et les inquiétudes dissipées au sortir de cet atelier car cette journée de donner et de recevoir leur a permis de découvrir les facettes de cette institution et d’éveiller en eux des vertus de patriotisme et d’humanité que la plupart avaient perdus.
Enfin, nous finirons en disant que servir l’humanité constitue l’œuvre la plus noble d’une vie et que la personne humaine est la chose la plus précieuse des richesses. Tel est le credo de la JCI.